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Seuls 5 % des repreneurs d’entreprise sont des femmes
Rares sont les femmes qui se lancent dans une reprise d’entreprise. Pourquoi sont-elles si peu nombreuses ? Comment inverser la tendance ?
Mesdames, osez la reprise d’entreprise !
Le reprise d’entreprise reste aujourd’hui encore une affaire d’hommes. Le nombre de repreneuses est confidentiel, pour ne pas dire anecdotique. Or, le marché recèle de véritables opportunités. Voici pourquoi, mesdames, la reprise d’entreprise est aussi faite pour vous.
Peu de chiffres sont disponibles sur la reprise d’entreprise par les femmes. En Belgique, ils sont même inexistants. Mais ils ne doivent pas être très éloignés de ceux de nos voisins français : 5 % des reprises d’une entreprise extérieure le sont par des entrepreneuses, 17 % lorsqu’il s’agit d’une société familiale. Pourquoi tant de frilosité de la part des femmes pour la reprise d’entreprise ?
Les obstacles à la reprise au féminin
En parcourant les témoignages çà et là, les principaux obstacles à la reprise d’entreprise par les femmes sont :
- un processus long ;
- l’accès au financement ;
- la légitimité ;
- se libérer des carcans dans lesquels on enferme souvent les femmes (notamment par rapport au secteur « non féminin » de certaines entreprises à céder).
Or, être une femme peut aussi être une force lorsqu’on veut reprendre une société…
Les forces des femmes repreneuses
Si une femme sur dix affirme que son genre était un obstacle pour devenir cheffe d’entreprise, celles qui ont franchi le cap l’assurent, il faut « savoir oser, aller de l’avant, ne pas hésiter ». Car « les compétences pour accéder à la direction d’une entreprise ne sont pas “genrées” et l’enthousiasme et la volonté peuvent lever certains freins ».
Parmi les points forts des femmes :
- les cédants se souviennent plus facilement d’elles car elles sont très peu à se présenter ;
- elles ont plus de qualités relationnelles et organisationnelles ;
- elles rechignent moins à s’entourer et à demander de l’aide ;
- la rentabilité des entreprises dirigées par des femmes dépasse, en moyenne aujourd’hui, celle des sociétés gérées par des hommes : un atout pour convaincre banques et business angels ;
- leur intelligence émotionnelle est un avantage concurrentiel dans la réussite du leadership.
Comment combattre les obstacles cités par les femmes ?
Le processus long : reprendre une entreprise exige, en moyenne, entre 12 et 24 mois. Ce qui n’est finalement pas plus long qu’en créer une… Chez Arvest, nous vous aidons à limiter ce temps, notamment en vous épaulant, et en vous mettant en relation avec des cédants potentiels.
L’accès au financement : il n’est plus nécessaire aujourd’hui de disposer de fonds personnels pour reprendre une entreprise. Grâce à un search fund , il est possible de se lancer sans investir un euro, voire très peu. Découvrez si vous avez le profil d’une searcher.
La légitimité : chez Arvest, nous assistons tous les candidat(e)s-repreneur(e)s à la développer en les préparant à leur futur rôle de CEO.
Se libérer des carcans de genre : ce frein, nous nous l’imposons souvent plus à nous-mêmes à cause de notre éducation. La clé : prendre conscience que tout est possible, aussi pour les femmes. Le nombre croissant de filles dans les études scientifiques, de commerce et d’ingénierie en est la preuve ! On ne vous donne pas les opportunités ? Créez-les !
Car quoi qu’il en soit, il est temps de battre en brèche les idées reçues sur l’entrepreneuriat au féminin !
Prête à reprendre une entreprise ? Contactez-nous !