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Reprise d’une entreprise à 30-35 ans : obstacles et solutions
Manque d’argent, d’expérience, de réseau, d’entreprises… 4 solutions aux 4 principaux obstacles rencontrés par les jeunes repreneurs.
Les solutions à 4 obstacles rencontrés par les jeunes repreneurs
La reprise d’une entreprise séduit de plus en plus de jeunes malgré les obstacles qui peuvent se dresser sur leur chemin. Quels sont-ils et quelles solutions mettre en place pour les surmonter ?
L’âge moyen d’un repreneur d’entreprise avoisine aujourd’hui les 45 ans. Néanmoins, des profils plus jeunes commencent à émerger, plus précisément parmi les 30-35 ans et même, parfois, chez les moins de 30 ans. S’ils ne sont pas encore pléthore, c’est que des obstacles viennent souvent contrecarrer leur projet de reprise. Pourtant, à chaque obstacle une solution peut être trouvée…
Les principaux obstacles à la reprise d’entreprise par un jeune
1. L’argent
C’est évidemment l’écueil n°1. Rares sont les moins de 40 ans à posséder suffisamment de fonds propres pour acheter l’entreprise de leur rêve. Ou même les garanties nécessaires pour amadouer les banques. Tout n’est pas perdu pour autant !
La solution ? Il en existe plusieurs. Parfois combinables entre elles. Faire appel à ses proches, à son réseau, séduire des business angels, solliciter un invest. Un nouveau véhicule financier émerge également en Belgique : le Search Fund. L’occasion de racheter une société sans investir un euro !
2. L’expérience
Si l’on apprend souvent, dans les grandes écoles de commerce, comment créer une entreprise, la reprise figure plus rarement dans les programmes. Même si les choses changent petit à petit. Les candidats-repreneurs sont alors souvent démunis face aux étapes inhérentes au repreneuriat.
La solution ? S’informer, se former, se faire accompagner. Pourquoi, par exemple, ne pas entamer un MBA ? Certaines business school, comme l’INSEAD , par exemple, proposent des programmes dédiés à la reprise d’entreprise. L’équipe d’Arvest peut également vous accompagner et vous familiariser à l’entrepreneuriat par acquisition . Notamment grâce à des exercices de simulation.
3. Le jeunisme
Et si le cédant me trouve trop jeune pour reprendre son entreprise ? Serais-je crédible à ses yeux ? Ces interrogations – légitimes – ne doivent pas vous faire reculer. L’âge ne fait pas un bon ou un mauvais repreneur !
La solution ? Travaillez votre confiance en vous. Apprenez à vous affirmer. À mettre vos compétences en avant plutôt que votre âge. Votre jeunesse peut aussi être un atout ! Couplée à votre enthousiasme, elle signifiera au cédant que l’entreprise qu’il a fondée se pérennisera dans le temps.
4. La peur de ne pas trouver l’entreprise idéale
Les jeunes candidats-repreneurs craignent souvent de manquer de réseau pour trouver l’entreprise de leur rêve. Comment savoir quelle entreprise est à céder ? Comment ne pas rater une belle opportunité ?
Chez Arvest, nous analysons régulièrement des entreprises à la recherche d’un repreneur. Une raison de plus pour nous rencontrer…
Quel que soit votre âge, Arvest peut vous guider et vous aider dans votre futur processus de rachat d’entreprise, classique ou via un Search Fund.